L’épilepsie sévère de la petite enfance désorganise le développement de l’enfant, son éducation, sa scolarité, peut influer sur son psychisme et ces éléments, joints à la terreur de déclencher des crises en contrariant l’enfant, aboutit à un « surhandicap » largement évitable et qui relève bien de l’action médico-sociale précoce.
Les CAMSP et les SESSAD ont un rôle important à jouer dans l’accompagnement précoce de ces personnes aux troubles extrêmement sévères.